
Rendez nous nos indiens
Dans les cours de récré, déjà il fallait choisir son camp. A l’issue d’interminables CHIEN-LOUP ou CHOU-FLEUR, on finissait toujours avec le gros Kevin dans les cages et le petit Pascal à l’aile. Après, comme pour les cowboys et les indiens, on choisissait son équipe… Et là, il y avait toujours les arabesques magiques des brésiliens contre les tacles assassins des argentins, les OM-PSG d’avant le chic des pétroliers puis plus récemment, les galactiques de Madrid contre les stratosphériques de Barcelone,…...
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